samedi 2 mai 2009

Suis-je un porc ?

Non, rien à voir avec la grippe porcine, ou seulement par association d'idée...
(La grippe porcine ne se transmettant pas encore par simple association d'idée, je tiens à rassurer une éventuelle partenaire, que si j'ai la fièvre, cela n'a rien d'une maladie !!!)

Car jusqu'à preuve du contraire, la fièvre sexuelle ne peut être traitée médicalement...

D'où mon inquiétude : suis-je malade ? Malade comme un Porc, cela va de soit !

Considérant le sexe comme une chose absolument naturelle et déliée de toute connotation de bien ou de mal (faut d'ailleurs que j'écrive au Pape pour qu'il me retire de la longue liste de ses brebis ), je classerai le rapport sexuel dans la catégorie des activités physiques, au même titre que la course à pied ou le vélo...

Qu'on ne s'y méprenne pas, je ne suis pas en train de dire que l'amour est une chose purement mécanique, dénuée de toute émotion...
Je n'enlève aucun sentiment à un acte aussi exaltant qu'une bonne partie de baise !

C'est pourtant ce dont on accuse souvent, ceux qui, comme moi, on la franchise de dire que le sexe simple, sans prise de tête, sans calcul, a priori, considération philosophique ou sociologique est la plus belle des choses !

Délivré de toutes ces conneries, le sexe pourrait d'ailleurs se révéler être un formidable remède contre la crise !

Imaginez un monde ou l'on pourrait proposer une partie de jambe en l'air comme on proposerait d'aller boire un café ou se faire un ciné ?
Imaginez un monde ou la conversation suivante entre deux personnes qui viennent de se rencontrer dans un dîner chez des amis n'aurait rien de saugrenue :

- Tu fais quoi demain ?
- Je ne sais pas, je vais peut être aller faire du vélo. Et toi ?
- Ben j'ai mille choses à faire mais j'aimerais bien te proposer de faire un truc avec moi...
- Oui pourquoi pas ? On va faire une ballade en vélo tous les deux ?
- Je pensais plutôt à une bonne partie de jambes en l'air !
- Tu te débrouilles mieux au lit qu'en vélo ?
- je suis plutôt pas mal oui... Et puis on m'a volé la roue de mon vélo...
- Alors oui, d'accord, de toutes façons ils ont prévu de l'orage pour demain....

Ah, comme les choses seraient simples et belles...
Rendez-vous compte, que dans ce type de conversation, il n'est même pas utile de spécifier qui, de l'homme ou la femme, fait la proposition... On s'en fout !

Et surtout, ne me parlez pas de sentiments en me disant que je pense comme une bête...
Outre le fait que nous soyons issus du monde animal (cessons de nous faire croire le contraire) tout cela n'empêche en rien les sentiments et je dirais même, bien au contraire !

Les sentiments existent, ils sont là en permanence, se créent à notre insu, se renforcent par la pratique...

Et surtout, je ne vois pas ce que tomber amoureux d'une femme en faisant l'amour avec elle, aurait de plus dégradant que de tomber amoureux d'elle en jouant au tennis ensemble tous les week-end.

M-


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jeudi 30 avril 2009

Pourquoi faire compliqué quand on peut faire Québécois ?

Tellement chaleureux ! Les Européens sont unanimes, invariablement subjugués par le sourire et l’accueil de leurs déroutants cousins. De quoi donner envie d’aller voir un peu sous l’étiquette. Regard d’un Français installé à Montréal depuis 10 ans.




L’image des Québécois dans le monde rayonne en grande partie grâce à leur personnalité. Ouverture et chaleur sont les mots qui reviennent le plus souvent lorsqu’on découvre les gens de la povince. En les fréquentant un peu plus, on commence à comprendre que la convivialité est ici une « norme ». Les Québécois verseraient-ils dans le politiquement correct ? C’est certainement un des traits communs de leur caractère, mais la prudence s’impose : si d’aucuns pensent encore que le Québec est une petite France virginale égarée en Amérique, ils auront bien du mal à intégrer les subtilités d’une société d’apparence simple – et non simpliste – qui comporte son lot de codes complexes. Nous sommes ici en Amérique du Nord et plus précisément au Québec. Un continent, une histoire, une culture, un peuple. Croire qu’il suffit de parler la même langue pour se comprendre et s’apprivoiser, c’est prendre le risque de rater la première marche du grand escalier de l’intégration.



Le droit du plus humble

La personnalité des Québécois a quelque chose de fascinant. Il faut du temps pour tenter de la comprendre, plus de temps encore pour se l’approprier, pour autant que cela soit possible. Certains resteront d’ailleurs, durant tout le processus d’intégration, dans la posture du spectateur ébahi. C’est toujours mieux que de vouloir à tout prix être un acteur qui donne les répliques au mauvais moment dans un film dont il n’a rien compris à l’intrigue. Tout ne peut pas se rattraper au montage !

Une chose est sûre, notre Québécois n’a pas la prétention du « moi, je sais tout, je fais tout, je comprends tout, je vais tout t’expliquer ». Il est d’emblée curieux, ouvert. Sa confrontation permanente avec des cultures différentes y est sans doute pour quelque chose. Il regarde, écoute, teste, goûte. Les préjugés ont mauvaise presse. Il faut faire ses preuve – c’est particulièrement vrai dans le monde du travail où rien n’est jamais aquis –, mais on juge toujours en connaissance de cause, avec cette faculté incroyable de s’accorder le droit à l’erreur sans passer son temps à se lamenter sur la genèse de ses ratés. On se brûle un doigt ? On se soignera, seul. Sans se plaindre. Pas grave, il en reste neuf autres !



Un peuple jeune

Comme d’autres, sa population vieillit, mais la société québécoise est jeune au sens premier du mot : cinq siècles d’histoire depuis l’arrivée des premiers colons ! Et une entrée dans la « modernité » somme toute récente. Voilà qui met peut-être en lumière une certaine candeur, une effervescence partagée qui s’incarne dans la soif d’apprendre des Québécois, et pas forcément dans les livres. On est fiers de ce que l’on est, attachés à ses racines et à l’affirmation de soi, mais on ne passe pas son temps à théoriser. On agit. On consomme. L’art de vivre, ou plutôt le « vouloir vivre » québécois se dessine ainsi au quotidien et n’est jamais évident à définir du fait des influences culturelles multiples – américaines, nordiques et européennes – qui façonnent cette société. Mais quelque chose se prépare, c’est dans l’air.

Cette ouverture d’esprit et cette apparente décontraction se retrouvent à tous les niveaux de la société québécoise, allant de paire avec un certain goût de la concertation et du consensus : dans les rapport sociaux, entre les générations, à travers la place des femmes dans cette ancienne société matriarcale, dans la vie politique, dans les rapports aux autres cultures et aux minorités – les Québécois n’oublient jamais qu’ils en sont une en Amérique du Nord –, dans l’humour québécois ou encore dans la pratique de la langue (vivante, inventive, « fleurie » diront les autres francophones). Sur ces derniers points, n’oublions pas que longtemps le Québec fut soumis aux pesanteurs conjointes de la religion et de la domination anglophone. Quelque part, 40 ans après, les Québécois célèbrent toujours la jeunesse retrouvée de leur Révolution tranquille. « [Au lieu d’être dans les monuments], notre histoire est dans les arbres ; c’est plus poétique ! », nous disait Garou quand nous l’avions rencontré.



L’accueil, c’est tout un art !

Rien d’étonnant, en somme, au fait que les visiteurs repartent invariablement enchantés. Ils sont choyés ! Un accueil aussi professionnel que chaleureux : il n’y a rien de compliqué, pas de protocoles alambiqués. Le tutoiement s’installe rapidement, au point que cela fasse débat (lire l’encadré). On dresse la table. On débouche une bonne bière. Les sourires deviennent des rires même si on ne rie pas toujours en même temps pour les mêmes choses. On profite de l’instant présent : « je relaxe », une expression qui revient souvent sur les lèvres. Demain est un autre jour. Les portes s’ouvrent facilement, c’est vrai. Elle se referment très vite aussi. Au Québec, les amitiés ne s’imposent pas. Elles vont et viennent, au gré du temps et des humeurs. Le carburant essentiel des rapports humains – amicaux, amoureux, familiaux – est sans conteste la spontanéité.

Tout en aimant se rassembler, les Québécois n’ont pas l’esprit frondeur ni revanchard. Ne les cherchez pas dans la mêlée ! Non pas qu’ils soient trouillards. Mais les combats de coqs ne sont pas leur tasse de thé, le thé n’étant pas non plus – n’en déplaise à Sa Majesté – leur boisson favorite. La bière serait plus indiquée pour une troisième mi-temps. Mais le caractère gaulois de la troisième mi-temps ne justifie pas à leurs yeux de s’invectiver pour défendre un point de vue sur des questions existentielles auxquelles on ne trouvera jamais de réponse tranchée ! Après tout, nous sommes au pays du hockey, pas du rugby. Il faut que ça glisse !

La personnalité des Québécois est ainsi faite d’évidences et de complexités. La curiosité n’est pas un vilain défaut. La simplicité un artifice tout naturel. L’ouverture une nécessité. Pour mieux penser aux autres, on pense d’abord à soi. Rien de très spectaculaire quand on y réfléchit bien. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire québécois ?

mardi 28 avril 2009

Souvenir du passé.

Il me revient avec le vent du Sud quelques images du passé.

La chaleur de l’après-midi et le bien-être de cette pluie lourde et enivrante d’un orage d’été qui venait de se terminer.
Il était 4 heures et les stores étaient baissés sur un soleil de plomb qui écrasait tout au-dehors. Tout était immobile. Mais quelle saison étions-nous déjà ? L’été ?
Ses vêtements qui tombent au sol.
Mon jean qui touche le carrelage dans le claquement sec de ma boucle de ceinture.
Rien ne presse.
Au-dehors on étouffe alors que nous nous vautrons dans la moiteur de nos deux corps.
C’est l’instant où l’on croit en tout, même en la beauté du monde.
Précisément alors que l’on s’en trouve isolé.
Mes mains la caresse comme son corps le réclame, comme mues par sa propre volonté, et son corps répond au mien jusque dans le moindre frisson. Ainsi viennent les moments où elles ne connaissent pas leur force, où elles n’imaginent pas la puissance de leur souffle au creux de notre oreille. Si elles savaient…
Peau contre peau, bouche contre bouche, nous nous extrayons de ce monde.
Plus rien de matériel ne peut plus nous atteindre.
Un filet de sueur coule dans mon dos, nous allons d’un même mouvement.
Je cherche son plaisir, elle cherche le mien.
Nous l’atteignons ensemble, elle se livre tout entière, abandonnée, alors que je fonds en elle, le cœur fouetté par ses halètements de plaisir.
M-

L'homme cochon c'est bon !

Je devais certainement faire attention en ce moment avec un tel titre de billet, mais que voulez-vous, j'aime vivre dangereusement...
Et comme on dit, tout est bon dans le cochon... (Sauf la grippe désormais)
Tout cela pour dire que si l'homme est un animal, c'est parce que la femme l'est aussi.
Oui, je sais, certains prétendent (ont ils vraiment tort ?) que la femme a refoulé sa nature animale derrière de nombreuses barrières intellectuelles et sociales, voire sociologiques...
Il n'en reste pas moins qu'une femme aussi éprouve des pulsions, des envies, des désirs...
Ceux-ci se manifestent effectivement d'autant plus crûment que le soleil darde ses rayons sur les peaux blanches, noires, métis... Que la chaleur conduit au rétrécissement des jupes, que subtilement le tissu s'allège, la toile devient légère et la peau trouve de plus en plus d'espace pour s'exposer...
Oui, c'est dans ces moments là que l'on reconnaît l'Homme qui ne craint rien de sa nature profonde, celui qui n'a pas à rougir de ses envies, ses émotions, ses désirs...
Il lui faudra certes beaucoup de chance pour tomber sur la perle rare qui ne jouera du paradoxe cruel qui consiste à lui dévoiler sa chair tout en lui reprochant son regard appuyé, et qui se flattera d'être l'objet d'un désir évident sans s'offusquer de sa manifestation physique...
Ah comme tout serait simple si les femmes assumaient leur nature animale elles aussi !
M-

L'appel de la petite jupe

Le macho, digne de ce nom, a des yeux pour voir et il ne s'en prive pas. La rue regorge de vision érotico-sensuelle en cette période de l'année. Les peaux se dévoilent, les dos se dénudent, les jupes s'allègent, se raccourcissent, vire-voltent au dessus des selles des vélos...la femme le sait que l'homme la regarde...la femme n'a juste qu'une envie inavouée de se faire regarder, sous tous les coutures et si possible se faire regarder en suivant les coutures de son string que l'on distingue sans aucune vergogne à travers les tissus de plus en plus légers.
Plus les femmes sont belles, et plus les hommes sont des hommes ! Les femmes le savent, les femmes ne font jamais rien au hasard...elles savent quoi faire pour attirer le regard des machos. L'Homme est un animal, un vrai.

JF

Un appel à l'Homme.

Votre femme, votre fiancée ou vos petites amies disent de vous que vous êtes macho ?

Vous avez décidé, tout petit déjà, en suivant l’exemple de votre père, ou en regardant un peu trop les films de Marlon Brando, de devenir un véritable macho ?

Oui mais voilà, cette attitude qui fait l’admiration de la plupart de vos copains, ne fait pas toujours celle de la gent féminine, et un courant de pensée désormais majoritaire dans les médias, tente de vous faire passer pour un homme des cavernes brutal et sexiste.

Rassurez-vous ! Être macho, ce n’est peut-être pas très à la mode, mais c’est bien !

D’abord parce que bon nombre de vos amis aimeraient bien être machos eux aussi, au moins de temps à autre.
Mais aussi parce que votre machisme fait de vous un être d’exception, le détenteur d’un titre rare qu’il vous faut à tout prix conserver pour le bienfait du genre masculin.
À une époque où la confusion des genres est la règle, où le rôle des uns et des autres devient de plus en plus difficile à établir, et où l’homme a de plus en plus de mal à trouver sa place, vous restez droit dans vos bottes, vous !

Vous êtes le garant de coutumes qui, sans vous, se seraient déjà perdues dans la dissolution des valeurs de la virilité et dans cette satanée société qui, n’ayons pas peur de le dire, se féminise chaque jour un peu plus…

Vous, vous savez ce que vous avez à faire et quel est votre rôle !

Par conséquent, même si cela ne plaît pas à tout le monde, vous savez aussi quel est celui de la femme…

Oh certes, votre position n’est pas facile à tenir !

Attaqué de toutes parts par des lobbies féministes qui tentent de vous faire renoncer à votre statut de mâle dominant, vivant à contre-courant d’une société qui a permis aux femmes de passer de la jupe au pantalon, puis des postes subalternes à ceux de direction, vous êtes l’un des derniers guerriers de notre époque!

Une espèce menacée, qu’il est grand temps de réhabiliter avant qu’elle ne disparaisse totalement.

M-

lundi 27 avril 2009

Machos en danger ?

Mon cher co-auteur,

Le Front de Libération des Machos existe, il n'en porte pas réellement le nom, mais sa vitrine légale est ici sur ce blog.
Toi et moi en formons les cellules combattantes, nos lits en seront les champs de batailles...

M-

Souvenirs éthyliques...

Plus je bois plus j'ai du mal à comprendre pourquoi les gens se compliquent la vie avec le sexe...
Quoi de plus simple, de plus naturel que cela ?
Pourquoi en faire un objet de débats, de polémique, de politique ?
Pourquoi tout compliquer ainsi ?
Dites les matrones, les ex-soixante huitardes repenties, est-ce parce que vous ne l'aimez pas que vous prenez un malin plaisir à le compliquer de la sorte ?
Pourtant c'est tellement simple.
Un puzzle avec seulement deux pièces et une variété quasi infinie de possibilités...
(J'accorde bien volontiers aux homosexuels l'opportunité du choix des pièces...)
Une source intarissable de plaisir, de bonheur, de jouissance...
Mais putain ! Pourquoi gâcher tout ça ?
Pourquoi de vieilles matrones mal baisées tentent elles de faire croire aux jeunes filles que sucer c'est sale et que se laisser aller le premier soir c'est être une salope ?
D'abord sucer n'est pas sale... Pour certains, sucer, n'est même pas tromper !
Et puis, quelle règle, quelle sacro-sainte loi gravée dans le marbre dirait qu'une partie de jambes en l'air ne devait JAMAIS avoir lieu le premier soir...
Pardon, ma chère bouteille de St-Estèphe, mais quelle foutue connerie !!!
Ah oui, quelle putain d'ineptie...
Parce que franchement, qu'est ce qu'elles m'ont données du bonheur, comme elles m'ont rendu heureux, surpris, dérouté, retourné comme un crêpe, celles qui ont couché le premier soir !!!!
Surtout quand, montant devant moi l'escalier de leur appartement et guidant mes pas sur l'ondulation d'une paire de fesses que, déjà, j'envisageais, je mesurais, je sentais entre mes mains, elles me disaient :
"Tu sais, je ne suis pas une fille comme ça...".

M-

J'ai un fait rêve...

...un rêve à jeun, sans bulle, sans alcool, sans drogue, debout, éveillé, sans aucune érection apparente, en pleine journée. J'ai rêve que toi et moi, on fondait le Front de Libération des Machos....et si c'était vrai ?

A deux c'est mieux..

Salut l'ami !

Nous voici deux maintenant sur ce blog.
Cela ne sera pas de trop tant l'ampleur de la tâche est importante...
Par quoi commencer ? Oui, je sais que d'une certaine façon nous avons déjà commencé...
Avec le blog, mais bien avant par ce que nous sommes, par notre rapport à la vie, aux femmes, au sexe...
on va nous traiter d'arriérés, d'affreux machos, tu le sais...
Qu'importe n'est ce pas...
Peut être parce que nous le sommes un peu au fond non ?
Si être macho c'est considérer que l'homme et la femme sont différents, que complémentaires ne veut pas dire identiques, qu'il faut avoir le courage de rester soit-même au lieu de devenir rose et insipide, alors je suis macho...
j'assume, j'aime les femmes, la vie, l'amour...

Je tiens à la survie de l'Homme en tant que tel et je suis convaincu qu'en agissant ainsi nous défendons aussi les intérêts des femmes...
Que feront elles quand elles n'auront dans leur lit que de gros minous dégriffés ?
Qui viendra leur griffer le dos quand l'envie s'en fera sentir, qui mordra l'oreille, le cou et le sein tendu ?

L'Homme.
Celui qui n'aura pas trahi sa nature, qui n'aura pas cru que faire la vaisselle deux fois par semaine ferait de lui le meilleur ami de sa femme...

Toi, moi...et j'espère encore beaucoup d'autres !
M-